
Tromperies autour de l’artémisinine
Artémisinine : attention aux tromperies, ne pas confondre la poudre de plante et les extraits !
Lorsqu’il s’agit de traiter une maladie infectieuse, deux éléments sont à considérer : le malade et le microbe.
Action sur le malade.- Tout colloïde métallique provoque une réaction plus au moins intense de l’organisme, à moins que celui-ci ne soit plus capable de lutter si peut que ce soit et que le malade soit à l’agonie. Cette réaction se traduit en partie par les phénomène décrit par MM. Achard et P.-Émile Weil (Archives de médecine expérimentale mai 1907). Les auteurs ont étudiés l’action de l’argent colloïdal électrique sur le sang et sur les organes hématophétiques du lapin, et nous rappellerons brièvement que les injections intraveineuses de ce colloïde provoquent une augmentation fugace des globules rouges accompagné d’une diminution de leucotytes, augmente pour dépasser notablement la normal et se maintenir pendant plusieurs jours, en meme temps que le nombre des globules rouges reste inférieur à la normale;enfin, tout rentre dans l’ordre.
Récemment, MM. Achard et L. Ramond ont repris les mêmes expériences avec le Séléniol (Sélénium A colloïdal, procède l’ancien) et ont obtenu sensiblement les mêmes résultats (1) : ils n’ont cependant pas noté de leucopénie initiale et ont enregistré une hyperleucocytose plus rapide et plus durable qu’avec l’argent colloïdal électrique de Bredig.
On peut donc conclure que la nature du métal n’influe pas sur la réaction organique et que seul l’état physique du colloïde à de l’importance. Son action sera d’autant plus intense que le grain sera plus fin (A.Robin). L’égalité de grosseur des grains entre eux a aussi une grande importance, car une solution contenant des grains de grosseurs différentes provoque d’abord une hyperthermie qui précède la chute de température, tandis qu’une solution à grains égaux donne une baisse régulière en commençant immédiatement après l’injection. On peut rapprocher ce phénomène le fait que MM. Archard et L. Ramond n’ont pas constaté cette phase de début avec le Sélénium colloïdal procède l’ancien, mais une hyperleucocytose à début immédiat et progressive.
En résumé, si comme on peut le constater, tout colloïde métallique provoque une hyperleucocytose, il est possible d’obtenir des résultats aussi satisfaisants de l’emploi d’un métal ou d’un autre, à condition que ce colloïde soit en grains très fin et très égaux.
Action sur le microbe.- Cependant, si l’expérience montre que certains métaux ont un pouvoir bactéricide plus accentué que d’autres, on peut espérer que ceux-là agiront plus efficacement dans les maladies infectieuses. De quelle nature est l’action bactéricide du colloïde? Est-ce une action physique, ou une action chimique ? Là encore c’est par son action physique que le colloïde agit. Lorsque l’on examine à l’ultra-microscope une culture de bacille d’Eberth additionnée d’une solution colloïdale (Rhodium par exemple), on constate que les grains de colloïde viennent s’agglutiner contre les bacilles et qu’au bout d’un certains temps le microbe se retrouve complètement entouré : c’est ce qu’on appelle le phénomène d’adsorption, qui est d’autant plus intense que les grains sont plus fins. On comprend que dans cette sorte de cuirasse métal qui l’isole du milieu de culture, le bacille de tarde pas à périr, bien que la solution colloïdale ne soit nullement toxique pour les organismes inférieurs (A. Lancien et L. Thomas).
Cette action empéchante est-elle la mêmes de la part de tous les métaux pour tous les microbes ? Pour résoudre cette question on a préparé par le mêmes procéder des solutions colloïdales des divers métaux aux mêmes titres et à grains identiques ; des cultures ont été additionnées chacune d’une même quantité des divers colloïdes, puis elles ont étés exposées à des radiations riches au rayons ultra-violets et on a noté soigneusement le temps minimum nécessaires à la stérilisation des cultures.
Ces essais ont été recommencés avec divers microbes et on a constaté qu’étaient tués les premiers ceux auxquels on avait mélangé du Rhodium colloïdal.
Ce maximum d’activité paraît du a la constitution moléculaire du Rhodium colloïdal, constitution moléculaire du microbes lui-même. C’est donc en s’adressant au Rhodium colloïdal électrique que l’on aura le plus de chances de lutter efficacement contre une raison quelconque, et l’on verra plus loin que cette conclusion théorique a été pleinement confirmée par les résultats cliniques.
A coté de ce pouvoir anti-infectieux à peu près général dont jouit au premier titre le rhodium, et avec lui, mais à un degré moindre, l’argent et les autres métaux précieux (Or, Platine, Iridium, Palladium, etc.), certains métaux ont une action véritablement spécifique qui en commande l’emploi dans les affections bien déterminées ; nous citerons le cuivre dans les mycoses, la tuberculose, le cancer ; le sélénium, dont l’action dans les affections cancéreuses est maintenant établie par de nombreuse observations ; le mercure, qui a été préconisé dans la syphilis, puisqu’il est déjà employé sous toutes ces formes dans le traitement de cette affections ; l’arsenic à utiliser dans le traitement de la scrofule, du lymphatisme, des anémie de toute nature et aussi comme traitement de la scrofule, du lymphatisme, des anémies de toute nature nature et aussi comme traitement adjuvant dans certaines affections parasitaires (paludisme, syphilis, tuberculose ganglionnaires et osseuses, ostéomyélites) ; le Silicium dans le traitement du goitre (1), le soufre dans la rhumatisme déformant, la bronchite, la laryngite.
Artémisinine : attention aux tromperies, ne pas confondre la poudre de plante et les extraits !
« L’artémisinine provoque la mort des cellules cancéreuses par apoptose. La molécule d’artémisinine contient un pont endopéroxyde qui réagit avec l’atome de fer contenu dans la cellule pour former des radicaux libres. La formation de radicaux libres entraîne des dommages macromoléculaires et la mort de la cellule. Les cellules cancéreuses ayant une concentration en fer plus importante, sont ainsi plus vulnérables ».
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