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Arthrite purulente du genou-  Le matelot Cas…, vingt-huit ans, entre à l’hôpital pour rhumatisme articulaire aigu, le 5 février 1913. Etat général peu satisfaisant ; sueurs profuses, insomnie, fièvre 1913. Etat général peu satisfaisant ; sueurs profuses, insomnie, fièvre. Genou droits gros et douloureux ; gonflement oedémateux périrotulien. A noter, dans les antécédents, une contusion du genou droit en 1903, et une crise de rhumatisme articulaire en 1905. Cas…est soumis au traitement par le salicylate de l’immobilisation du genou. Persistance de la fièvre, gonflement du genou de plus en plus accusé. Le 18 février, ponction évacuatrice, réapparition rapide du gonflement. Le 18 février, ponction du genou. On tire 200 centimètres cubes d’un liquide purulent verdâtre. Le gonflement se reproduit les jours suivants.

On pratique une nouvelle pnction évacuatrice, réapparition rapide du gonflement. Le 28 février, ponction et injection d’argent colloïdal électrique ( 10 centimètres cubes ). Le 2 mars, ponction et deuxième injection d’argent colloïdal électrique ( 10 centimètres cubes ). Les jours suivants, selles diarrhéiques. Le genou redevient gros et douloureux. L’état général reste peu satisfaisant. Le 10 mars, ponction ; elle ramène du liquide teinté en jaune et qui est constitué en partie par l’argent injecté lors des dernières ponctions et non résorbé. En effet l’analyse micro-chimique y a décelé de l’argent. Après la ponction, injection de Rhodium colloïdal ( 6 centimètres cubes ) mis à notre disposition par M. André Lancien. Dès le lendemain, il se manifeste, dans l’état du genou, une amélioration qui s’accentue de jour en jour. En même temps, chute de la fièvre et amélioration de l’état général qui devient de plus en plus satisfaisant. Le 3 avril, le genou a repris son état normal. Mouvements faciles, non douloureux. Le matelot CAS… quitte l’hôpital en très bon état.

 

Nature de l’infection – L’examen du liquide retiré par ponction a démontré qu’il s’agissait non d’une infection à pneumocoque, comme on aurait pu le croire d’après l’aspect du liquide, mais bien d’une infection produite par un diplocoque.

 

Traitement – Aucun résultat n’a été obtenu par le salicylate ni par les ponctions évacuatrices. Deux ponctions ont été suivies d’injection d’argent colloïdal électrique. Pas d’amélioration appréciable. De plus, après la deuxième injection, le malade a eu pendant trois jours des selles diarrhéiques. En outre, l’argent colloïdal injecté n’était pas encore complètement résorbé huit jours après l’injection. En dernier lieu, nous avons eu recours au Rhodium colloïdal électrique. Il a produit des résultats aussi surprenants que rapides. Une autre injection de Rhodium ( 6 centimètres cubes ) a été pratiquée dans l’articulation à l’endroit où l’on avait fait des injections d’argent colloïdal. L’aspect du genou s’est de suite modifié. Il y a eu une ascension thermique ( 38,6° ) après l’injection. Mais dès le lendemain, la température est redevenue normale. Actuellement l’état local l’état général sont des plus satisfaisants.

 

Cette année je fus appelé d’urgence à Rome auprès d’un jeune homme âgé de vingt ans présentant les phénomènes suivants : quelques jours après une chute suivie d’une promenade sous une pluie battante, ce jeune homme avait été pris d’une forte fièvre, cependant que le genou gauche, puis le cou-de-pied gauche enflaient. Conjointement, évoluait une endo-péricardite avec double souffle aortique et mitral. La température vespérale évoluait entre 38,5° et 39,5°. Lorsque j’arrivai auprès du malade, je le trouvai en pleine poussée d’endo-péricardite avec double souffle ; le genou gauche était gros, rouge et douloureux ; le cou-de-pied gauche était gros, rouge et douloureux ; la température 39,5°, l’état général très affaibli. Je lui fis immédiatement une injection de Lantol et des applications d’antiphologistine sur les articulations douloureuses. Le lendemain, une amélioration notable se produisit, le genou était moins gros, moins douloureux, le cou-de-pied était moins douloureux mais aussi gros. Le même traitement fut maintenu en y adjoignant de la digitale.

 

Le surlendemain, le genou n’était plus ni rouge ni douloureux ; le cou-de-pied, toujours gros, était néanmoins beaucoup moins douloureux ; la température de 37,9°. Dès lors, je cessai les injections de Lantol et continuai les applications d’antiphlogistine jusqu’au dixième jour, où le malade étant en excellent état de convalescence, bien que présentant encore un double souffle, je le quittai. Les nouvelles reçues depuis sont relativement bonne.

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